Le niveau baisse

et si on comparait les prestation des élèves en gymnastique en 1950 et les cours d'EPS aujourd'hui ?

02/09/2010 (LaTribune) "Budget de l'éducation nationale: bien utilisé ?"
http://www.latribune.fr/actualites/economie/la-chronique-eco-de-francois-lenglet/20100902trib000544965/budget-de-l-education-nationale-bien-utilise-.html

[prisme]le 14 mai sur le thème de la baisse du niveau scolaire à travers les évaluations internationales et nationales .Thierry Rocher , vous présentera les derniers travaux de la DEPP sur ce sujet à partir des enquêtes internationales (PISA ) et nationales ( JAPD , comparaison sur 20ans).

01/05/2009 [lexpansion] Tripatouiller les statistiques, la sale manie du gouvernement
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/tripatouiller-les-statistiques-la-sale-manie-du-gouvernement_179980.html

27/04/2009 [lexpansion] Les chiffres qui dérangent le ministère de l'Education nationale
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/les-chiffres-qui-derangent-le-ministere-de-l-education-nationale_180141.html

21 avril 2009 [agoravox] Education nationale : un recteur avoue !
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/education-nationale-un-recteur-54840


10/03/2009 [lacroix] Orthographe, est-ce vraiment la faute de l’école ?
http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2367408&rubId=4076

Mars 2009 [Sciences Humaines] Ecole, des évaluations qui fâchent : Trois questions à ...Jean-Yves Rochex
http://www.scienceshumaines.com/ecole-2c-des-evaluations-qui-fachent_fr_23282.html

b]13.02.09 [mediapart] Le discours de Saint Lô ou qui connaît Monsieur Perigroux ? [/b]
http://www.mediapart.fr/club/blog/marie-lavin/030209/le-discours-de-saint-lo-ou-qui-connait-monsieur-perigroux

09/02/2009 [skhole] Critique de la réforme de l'orthographe d'André Chervel
http://skhole.fr/critique-de-la-r%C3%A9fome-de-l-orthographe-d-andr%C3%A9-chervel

03.02.09 [Lemonde] Aider son enfant à faire ses devoirs
http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2009/02/03/aider-son-enfant-a-faire-ses-devoirs_1150106_3238.html

02/02/2009 dossier Cahiers pédagogiques
http://www.cahiers-pedagogiques.com/article.php3?id_article=4237

16/12/2008 [mediapart] Simplifier l'ortograf peut-il réduire la fracture sociale? vidéo de André Chervel
http://www.mediapart.fr/journal/france/161208/simplifier-l-ortograf-peut-il-reduire-la-fracture-sociale

10/12/2008 [lacroix] Les statisticiens de l’éducation dénoncent « la censure du ministère »
http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2358983&rubId=786

09/08/2008 : le niveau baisse exemple maths.
http://math-et-physique.over-blog.com/article-21854065.html

23 septembre 2008 [LeLocuteur.info] Comment enseigner le français à l'école par Marie DESPLECHIN (contre une vision conservatrice de la langue française, réforme de l'orthographe...)
http://fr.youtube.com/watch?v=OclblxS1o-g&feature=related

Mai 2008 [Médiapart] une biographie orthographique
http://www.mediapart.fr/club/blog/sebastien-rome/210508/l-epineuse-question-de-l-orthographe-une-biographie-orthographique

Mai 2008 [Médiapart] Médiapart et l'épineuse question de l'orthographe
http://www.mediapart.fr/club/blog/serge-koulberg/130508/mediapart-et-l-epineuse-question-de-l-orthographe

30 Avril 2008 [Café Pédagogique] André Ouzoulias : Chiffres de l'Ecole, une entreprise de manipulation
http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2008/OuzouliasDeclinologuesmentent.aspx

15/02/2008 [lefigaro] Les textos dans le collimateur du chef de l'État
http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/02/16/01001-20080216ARTFIG00074-les-textos-dans-le-collimateur-du-chef-de-l-etat-.php

16 décembre 2007 [Café pédagogique] Evaluations internationales : Il est impossible d’imputer la baisse des performances aux méthodes modernes… On ne sait pas ce qui se passe dans les classes !
http://www.cafepedagogique.net/searchcenter/Pages/Results.aspx?k=Evaluations%20internationales


3 septembre 2007[Canal+] : L'Éducation Nationale, un grand corps malade
Extraits du film "L'Éducation Nationale, un grand corps malade". Un film de Emmanuel Amara et Jean-Philippe Amar avec Raphaël Bourdelon et Raphaël Péaud.
http://fr.youtube.com/watch?v=cGSnh8akQmg&feature=related
http://fr.youtube.com/watch?v=LCpxV664T68&feature=related

09/02/2007 [L'express] Orthographe : le niveau baisse
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/orthographe-le-niveau-baisse_462822.html

2007 École : le niveau baisse-t-il ? "D'où vient qu'une partie des élèves qui ont achevé leurs études, bien loin d'être habiles dans leur langue maternelle, ne peuvent même pas en écrire correctement l'orthographe ? " ....1835...
http://sitecon.free.fr/ecobai.htm

2005 [ Sciences Humaines] Les Effets de l'éducation
Christian Baudelot et François Leclercq (dir.), La Documentation française, 2005, 367 p
http://www.scienceshumaines.com/index.php?lg=fr&id_article=5165
Vincent Troger

DELIBAO : l’opacité du logiciel de délibération assistée par ordinateur
http://minithud.megathud.com/25-delibao-lopacite-du-logiciel-de-deliberation-assistee-par-ordinateur/

Octobre 2007 [Ripostes Fr5] L'école française est un paysage dévasté ( Finkielkraut, Marc Lebris : avant c'était mieux, vision réactionnaires...)
http://fr.youtube.com/watch?v=4Ib-yS4e7yk&feature=related


Oct. 2007 [France Culture] : La faillite de l'école française -critique des méthodes de lecture en fait...- par Cécile REVERET
http://fr.youtube.com/watch?v=51ppBAIi2X8&feature=related


30 décembre 2003 La baisse de niveau des élèves en français : Mythe ou réalité (Le cas du Sénégal 2003)
http://www.sudlangues.sn/article75.html

Octobre 2003 "Le niveau baisse!" Que dit la recherche? Pierre-Philippe Bugnard Université de Fribourg
http://www.ordp.vsnet.ch/fr/resonance/2003/octobre/bugnard.htm

la notion de niveau masque une idéologie :
lire :
"le niveau monte : réfutation d'une vielle idée concernant la prétendue décadence de nos école" BAUDELOT & ESTABLET (Seuil 1989)
mais pas pour tous les élèves et à travers des écarts de performance qui s'accroissent. voir :
http://alain-leger.mageos.com/docs/BE.pdf

[musique] Aznavour "ému" par les mots d'un banlieusard :
Aznavour & kery James
http://fr.youtube.com/watch?v=jk6EIoxnNqlgo&feature=related

Mars 2009 [Sciences Humaines] Ecole, des évaluations qui fâchent : Trois questions à ...Jean-Yves Rochex
http://www.scienceshumaines.com/ecole-2c-des-evaluations-qui-fachent_fr_23282.html
la France n’est classée qu’au 32e rang pour les résultats de ses élèves en sciences. Mais en réalité, avec environ 20 % d’élèves de niveau faible, la France s’inscrit dans un groupe d’une vingtaine de pays qui ont des performances très comparables et totalisent entre 15 et 20 % d’élèves en difficulté. Les écarts enregistrés sont donc peu significatifs.
En fait, la véritable information que fournit Pisa sur l’enseignement scientifique français n’a été que faiblement relayée par les médias et les politiques : c’est l’écart très important entre les résultats des bons élèves et ceux des élèves faibles. Les experts de Pisa écrivent en effet : « Parmi les (…) pays où l’écart de performance est relativement grand entre les élèves les plus et les moins “brillants”, citons la France, l’Allemagne, le Japon et le Royaume-Uni. C’est dans ce groupe de pays que se justifie le plus la mise en œuvre de politiques destinées à élever le niveau des élèves plus faibles. » ... Il convient de considérer l’ensemble des résultats : moyenne, dispersion rendant compte des inégalités, part de la population testée ne parvenant pas à tel ou tel seuil, etc. Enfin, si l’on fait cela avec méthode, reste encore à savoir ce que l’on évalue et compare ainsi : les performances des systèmes éducatifs, ou les caractéristiques culturelles des pays, ou encore l’efficacité de l’éducation des familles ?
Avez-vous d’autres critiques à formuler à l’égard de Pisa ?
J’en formulerai deux. D’une part, le fait que ses concepteurs ont privilégié les critères mesurables et le classement, au détriment de la réflexion théorique sur ce que les épreuves de Pisa sont censées mesurer. D’autre part, Pisa repose sur un double présupposé substantialiste : 1) en langue, en mathématiques ou en sciences, il existerait des compétences universelles et indépendantes des contextes culturels ; 2) ces compétences seraient stables chez un même individu, quels que soient les contextes et les conditions de l’évaluation. Dans une analyse secondaire des données françaises de Pisa 2000 sur la maîtrise de la langue, nous avons montré (1) que cela ne vaut que pour les élèves les plus ou les moins performants. Entre ces deux pôles, pour près de la moitié de notre échantillon, les performances et les modes de faire sont très variables, pour un même élève, selon les textes et contextes, les thématiques et les formats de tâche, ce qui ne permet pas de parler de compétences stabilisées caractéristiques des élèves.
Qu’est-il néanmoins intéressant de retenir de Pisa ?
Les enseignements les plus intéressants de Pisa viennent des analyses secondaires qui ont été faites des données recueillies. Celles-ci montrent par exemple que la corrélation statistique entre le statut socioéconomique des élèves et leurs performances est plus ou moins forte selon les pays ou les types de systèmes éducatifs, les plus « efficaces » étant souvent aussi les moins inégalitaires et ceux qui ont un système de type « collège unique ». Ou encore qu’il n’est pas du tout avéré qu’une plus grande autonomie des établissements ou une décentralisation plus affirmée aillent de pair avec moins d’inégalités.
Sur un autre plan, plutôt que de considérer les « biais » culturels comme des scories méthodologiques à éliminer ou à réduire au minimum, il faudrait pouvoir au contraire les mettre au cœur de travaux comparatifs pour mieux comprendre les différences et spécificités entre pays. Mais cela ne semble guère intéresser promoteurs et commentateurs de Pisa, sans doute trop préoccupés de construire, de vanter ou de critiquer les « palmarès » auxquels donnent lieu ces enquêtes.

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/larecherche/Pages/2009/99_Surlesystemeeducatif.aspx
Attendu depuis des mois, l'Etat de l'école sort enfin du placard.
Symbole des études bloquées depuis des mois, L'état de l'école, une publication annuelle du service des études du ministère de l'éducation nationale, est enfin paru. Précédé d'une préface qui met l'accent sur les insuffisances de l'Ecole, l'ouvrage est conçu pour soutenir la politique ministérielle. Cependant il constitue une source d'informations précieuses sur l'efficacité de l'Ecole et ses budgets, les deux thèmes les plus abordés.

Il montre certains des aspects les plus négatifs de l'Ecole comme l'inégalité sociale dans l'accès au bac ou les sorties sans qualification. Mais il omet aussi d'autres inégalités comme les écarts entre établissements.

Alors que les évaluations de CM2 vont avoir lieu, il fait le point sur les compétences de base acquises en fin d'école et de collège. Il montre ainsi aussi les réussites du système éducatif comme la forte baisse des sorties sans qualification (presque un jeune sur deux en 1967, 5% aujourd'hui) même si les sorties sans diplôme restent trop fortes (18%).

L'obsession budgétaire qui parcourt le document ne cache pas le désinvestissement d el'Etat. La dépense intérieure d'éducation est passée de 7,3% du PIB en 2000 à 6,6% en 2007. Le nombre d'enseignants de 894 000 en 2003 à 870 000 en 2007. Le nombre de boursiers en lycée a lui aussi fortement baissé.

Les professeurs principaux trouveront également dans cet ouvrage des graphiques sur le rapport diplôme – risque de chômage et la situation sociale.

L'état d el'école

http://www..gouv.fr/pid271/l-etat-ecole.html



Au pied du sapin : 40 ans de progrès scolaires vus par l'Insee

C'est un petit cadeau que nous fait l'Insee. L'Institut calcule le pourcentage de diplômés dans la population française par tranche d'âge. On obtient ainsi un tableau très instructif des progrès de la scolarisation.

Quel était le pourcentage de diplômés dans la population ces 40 dernières années ? Si les sans diplômes sont nettement plus nombreux que les bacheliers (34% des hommes et 41% des femmes contre 29 et 28%) chez les 55-64 ans, le pourcentage a totalement changé chez les 25-34 ans : 60 et 69% pour les bacheliers, 12 et 11% pour les sans diplôme. En deux générations, le pourcentage de bacheliers a plus que doublé. Celui des sans diplôme a été divisé par 4.

Ces quelques chiffres ne doivent pas nous faire oublier les insuffisances du système éducatif français, les jeunes qui sortent sans qualification reconnue, les milliers d'adolescents qui quittent l'Ecole blessés et humiliés, tous ceux dont le parcours, une étude du Céreq en témoigne aussi aujourd'hui, n'est pas jugé satisfaisant. Mais ils coupent court aux accusations de décadence.

L'autre information intéressante donnée par ce tableau renvoie à la parité. Chez les 55 ans et plus ce sont les hommes qui sont bacheliers davantage que les femmes. C'est le contraire pour les 25-34 ans où les femmes l'emportent nettement. Sur ce terrain là l'Ecole a sans doute fait beaucoup mieux que certains de ces critiques.


octobre 2008 Enquête Insee
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&r[...]


L'éducation dans le monde

L'indicateur statistique de l'Unesco améliore sa formule. Cette année il inclut des séries statistiques longues (depuis 1970)à sur les principaux indicateurs scolaires. Ces chiffres permettent de suivre les progrès.

Global Education Digest 2008

http://unesdoc.unesco.org/images/0017/001787/178740e.pdf



Le financement de l'éducation en Europe

Les 27 pays de l'Union européenne consacrent 5% de leur PNB en moyenne à l'éducation. Eurostat oppose les états scandinaves qui investissent plus que d'autres à certains pays méditerranéens.

Sur Eurostat

http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_OFFPUB/KS-SF-08-117[...]

09/2007 : L'Éducation Nationale, un grand corps malade
http://fr.youtube.com/watch?v=cGSnh8akQmg&feature=related
http://fr.youtube.com/watch?v=LCpxV664T68&feature=related
Le diagnostic a la rondeur et la brutalité d'un zéro pointé : l' nationale ressemble à un mammouth sur béquilles. Un gros corps malade et claudiquant. Les profs sont plus formels qu'un collège de médecins : 15 % des élèves entrent en sixième avec un niveau de lec­ture balbutiant, les étudiants de fac sont nullards et le bac ne vaut plus rien. Ce bilan a un charmant petit goût d'apocalypse, égrenant les dysfonctionnements du système de la maternelle au doctorat, avec une rigueur de médecin légiste.
L'affaire est bien menée, dense, et riche d'une belle brochette d'entretiens. Tout cela ne résout pas le problème mais le pose avec une cer­taine vigueur. Avec des témoignages féroces de profs mécontents - idéal pour une catharsis collective -, au sommet desquels on retrouve Jean-Paul Brighelli, le médiatique moustachu de La Fabrique du crétin, qui tempête, s'insurge, soupire sur l'air de « C'était mieux avant ». C'est sans doute la limite de l'exercice : la critique flirte parfois avec le repli réactionnaire. On savoure la piquante évocation des IUFM, moins les harangues qui appellent à supprimer les sorties pédagogiques au nom d'une « pédagogie frontale, le cul sur une chaise », à réciter par coeur du Ronsard ou du Verlaine. Avec, pour chaque erreur, un bon coup de règle sur les doigts.

2005 [ Sciences Humaines] Les Effets de l'éducation
Christian Baudelot et François Leclercq (dir.), La Documentation française, 2005, 367 p
http://www.scienceshumaines.com/index.php?lg=fr&id_article=5165
Vincent Troger
Mesurer les « effets » de l'éducation par un bilan des connaissances sur le sujet... Trois autres auteurs, respectivement psychosociologue, politologue et historienne, interviennent. Il en résulte une somme exceptionnelle de connaissances. Tous les effets possibles de l'élévation du niveau d'études d'un individu ou d'une population sont mesurés au travers des résultats de travaux essentiellement anglo-saxons, et majoritairement produits par des économistes : effets du niveau d'éducation sur les revenus, les opinions politiques, la vie familiale, la carrière, le racisme, la santé, la croissance économique, la promotion des femmes...
En raison même de cette exhaustivité, l'ouvrage n'est pas aisé à lire. Outre les longues citations en anglais, la référence aux théories économiques, notamment celle du capital humain, s'accompagne de l'explicitation de quelques équations mathématiques plutôt complexes pour le non-initié. Par ailleurs, comme le soulignent les auteurs, ces travaux aboutissent souvent à des résultats contradictoires selon les contextes où ils ont été menés, ou encore à des conclusions que des travaux moins complexes avaient formulées depuis longtemps. Un livre néanmoins indispensable pour les spécialistes, car il fait découvrir une approche méconnue en France des questions d'éducation et ouvre des pistes aux chercheurs.